Formation des fonctionnaires namibiens sur l’efficacité des contrôles de sûreté portuaire et le respect de la réglementation
Des fonctionnaires namibiens ont suivi une formation d’une semaine sur l’application de mesures liées au contrôle et au respect des dispositions aux navires arrivant dans les ports du pays.
L’atelier national sur le contrôle par l’État du port (du 9 au 13 septembre), organisé par l’OMI, a rassemblé 29 professionnels du secteur maritime issus de diverses entités pour discuter de la question à Walvis Bay, où se trouve le plus grand port de Namibie.
L’objectif était de renforcer la capacité du pays à faire respecter les normes de sécurité internationales dans le cadre de la Convention internationale pour la sauvegarde de la vie humaine en mer (Convention SOLAS), en particulier le chapitre XI-2 de la Convention SOLAS sur les mesures spéciales pour renforcer la sûreté maritime.
Il s’agit notamment des mesures liées au contrôle et au respect des dispositions à appliquer aux navires entrants, afin de vérifier qu’ils satisfont aux exigences des règlements internationaux de l’OMI et de garantir la sécurité et la sûreté maritimes.
Les participants à l’atelier comprenaient des représentants du Ministère des travaux publics et des transports (direction des affaires maritimes), du Ministère de la pêche et des ressources marines, du Ministère de l’intérieur, de la sûreté et de la sécurité, du Ministère de la défense et des anciens combattants, de l’Autorité portuaire namibienne et de la National Petroleum Corporation.
L’atelier a encouragé le partage des connaissances et l’échange des meilleures pratiques afin de promouvoir une bonne compréhension d’un régime lié au contrôle et au respect des dispositions efficace et adéquat.
Cette initiative s’inscrit dans le cadre du projet financé par l’UE sur la sûreté portuaire et la sécurité de la navigation en Afrique orientale et australe et dans l’océan Indien. Ce projet aide neuf pays bénéficiaires à renforcer la sécurité et la sûreté maritimes dans la région, conformément à la Stratégie africaine intégrée pour les mers et les océans – horizon 2050.
Source : OMI